Chers Apôtres de la Divine Miséricorde,
Nous vous invitons très cordialement à faire le jeûne, la prière et des actes de charité pour obtenir la paix dans le monde et surtout en l’Ucraine. Implorons Dieu, en ce saint temps, afin que Sa Miséricorde puisse vaincre dans chaque coeur humain et avant tout dans ceux qui sont remplis de la haine et d’un désir de la vengeance, comme nous l’encourageait le pape François: „Jésus nous a enseigné de répondre aux actes sataniques de violence, avec une arme de Dieu: la prière et le jeûne. Je vous encourage tous, afin que le mercredi des cendres soit une journée de jeûne pour obtenir la paix”.
Que sainte Faustine nous soutienne en ce temps difficile et nous enseigne comment faire un combat avec la prière et le sacrifice. Soutenons aussi par notre prière des prêtres afin qu’ils proclament la vérité sur Dieu dont la miséricorde durent pour les siècles des siècles !
Des citations provenant du „Petit Journal” pour le temps du Carême:
Tout passera, mais sa miséricorde n’a ni limites, ni fin. La méchanceté parvient à atteindre sa mesure, tandis que la miséricorde n’a pas de mesure (423).
Aujourd’hui, c’est le Mercredi des Cendres. Pendant la sainte messe, j’ai ressenti dans mes membres la Passion de Jésus : cela a duré un bref instant. Le Carême est une période où les prêtres ont un travail bien particulier ; il faut leur venir en aide pour sauver les âmes (931).
Pendant la sainte messe, j’ai été intérieurement embrasée d’un tel amour de Dieu et d’un désir de sauver les âmes tel que je ne puis l’exprimer. Je sens que je suis tout entiere comme un feu, je combattrai contre tout mal avec l’ arme de la miséricorde. Je brûle du désir de sauver les âmes. Je parcours le monde entier en long et en large et je pénetre dans les lieux plus éloignés et les plus lointains pour sauver les âmes. Je le fais par la prière et le sacrifice (745).
A un moment, pendant le Carême, j’ai vu, au-dessus de notre chapelle et de notre maison, une immense clarté et d’ épaisses ténebres. J’ai vu le combat de ces deux puissances… (307).
Au début du Careme, j’ai demandé a mon confesseur de me donner une mortification pour le temps du Careme et voici ce que j’ai reçu : je ne dois rien supprimer de mon alimentation, mais méditer en mangeant sur la maniere dont Jésus a accepté le vinaigre avec le fiel quand il était sur la croix. Cela devait etre ma mortification. J’ ignorais que j’allais en retirer un aussi grand profit pour mon âme ; ce profit consiste en ce que je médite continuellement sa douloureuse Passion. Ainsi, quand je prends un repas, je ne distingue pas ce que je mange, parce que je suis absorbée par la mort de mon Seigneur (618).
J’ai également demandé au début du Carême de changer mon examen de conscience particulier et j’ai obtenu ceci : tout ce que je ferai doit être fait dans une pure intention réparatrice pour les pécheurs. Cela me maintient dans une union continuelle avec Dieu, et cette intention rend mes actions plus parfaites, parce que tout ce que je fais, je le fais pour les âmes immortelles. Toute ma peine et ma fatigue ne comptent pas pour moi, quand je pense qu’elles réconcilient des âmes pécheresses avec Dieu (619).
Le premier vendredi du mois, avant la Communion, j’ai vu un ciboire rempli de saintes Hosties ; une main avait posé ce ciboire devant moi et je l’ai pris dans la main. Il renfermait mille Hosties vivantes. J’ai alors entendu une voix: « Ces Hosties sont reçues par les âmes pour lesquelles tu as imploré la grâce d’une conversion sincčre pendant ce Caręme. » C’était une semaine avant le Vendredi Saint. J’ai passé ce jour dans un profond recueillement intérieur en m’anéantissant au profit des âmes (640).